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Samedi 15 mai, les bénévoles d'Amusaté é Boujaté procédaient à la mise en place des panneaux informatifs des 2 parcours thématiques qu'ils vont proposer aux participants de la Fête de la Nature, samedi 22 mai, à Saint-Barthélemy-Grozon.

Eh bien sachez que dès l'après-midi, des vandales (eh oui, c'est comme cela que l'on qualifie les auteurs d'un acte constituant une atteinte volontaire aux biens privés ou publics et commis sans motif légitime) d'une intelligence rare, ont développé un moyen d'expression innovant: arracher la plaquette représentant le ver à soie, mascotte du parcours du chemin du Serre des Fourches, sur le premier panneau, proche du pont de Léorat, et la jeter au bas du pont.

Il est clair que cette représentation d'un petit ver à soie représentait un danger imminent inacceptable pour cette ou ces personnes et que la légitime défense se justifiait pleinement!

Le panneau vandalisé

La plaquette retrouvée au pied du pont de Léorat

Mercredi 9 juin, une date importante pour la France (ce sera en effet le 4ème déconfinement lié à la pandémie de covid-19), une date importante également pour Saint-Barthélemy-Grozon: ce sera la très attendue 2ème édition du Marché Paysan, de 16h30 à 19h00, dans l'ancienne école de Grozon.

Le second "test", après un premier essai prometteur, pour les dix producteurs de notre commune et des environs, qui, nous l'espérons tous, nous proposeront leurs produits, dans un proche avenir, dans leur futur magasin de vente de l'ancienne boulangerie de Grozon. Un beau projet...

Le Meilleur De Nos Fruits livre nos villages les samedis

Editions Septéditions

24,60 €, achat direct par internet auprès de Septéditions, 131 route d'Aubenas, 07200 Ailhon (http://septeditions.com)

Associer un forestier (Michel BARTOLI) dont les ancêtres ont façonné des massifs d'Ardèche et un jeune photographe (Simon BUGNON) qui sait nous faire admirer la beauté de l'écosystème boisé permet de mieux comprendre ce que le présent doit au passé. Ecosystème de luxe audn il n'est pas trop simplifié et riche d'une histoire dans laquelle l'homme joue le rôle principal. Pour l'éroder souvent, puis le reconstruire ou le maintenir avec passion et ... patience.

Dans le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche, la place de la forêt justifiait ce double regard. Pour que désormais, le nôtre voit nos forêts un peu différemment, riches de patrimoines dans lesquels le vivant d'aujourd'hui et l'histoire d'autrefois sont indissociables.

Protégeons-les et sachons les gérer avec soin et prudence, ils ne vivent pas au même rythme que nous.

Un superbe ouvrage pour les passionnés de nos régions boisées!

Editions La Calade

39 € dans le cadre de l'offre de lancement (au lieu de 44 €, prix public), en renvoyant le bon de souscription à télécharger: 

j'achète en ligne - frais de port OFFERT jusqu'au jusqu'au 31/12/20

Après Les Maîtres du fil, aux éditions Mémoires d’Ardèche et Temps Présent et Vallées Moulinières, aux éditions du Parc des Monts d’Ardèche, Yves Morel revient avec un nouvel ouvrage sur l’histoire des moulinages. Ce beau livre est le plus complet car il traite de tout le département de l’Ardèche. Cet ouvrage réunit ainsi quarante années de recherche. Michel Rissoan l’illustre de ses photographies. Sylvette Béraud-Williams l’enrichit des témoignages qu’elle a collecté au fil de ses recherches. Le Parc y collabore également avec l’insertion du travail de thèse de Flore Vigné sur l’avenir des sites industriels aujourd’hui (thèse CIFRE au sein du Parc grâce à des fonds LEADER Ardèche 3 et PIA et en collaboration avec l’Université de Grenoble PACTE/CERMOSEM). 

L’ouvrage est disponible chez vos libraires. Le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a permis sa publication.

Lire ci-dessous l'article paru dans L'Hebdo de l'Ardèche du 17 décembre.

Samedi 8 mai, Jean-Paul DECULTY, maire de Saint-Barthélemy-Grozon, a déposé une gerbe au Monument aux Morts. Il était accompagné, règles sanitaires obligeant, d'un nombre réduit de conseillers municipaux.

Parmi les premiers projets initiés par la nouvelle municipalité, celui de l'installation de columbariums dans nos deux cimetières vient d'être mené à bien. Les columbariums sont des monuments funéraires (on dit en fait "cinéraires") destinés à recevoir les cendres des défunts. Les familles demandant de plus en plus souvent la crémation de leurs membres décédés, les cimetières mettent fréquemment à disposition des columbariums composés d'un ensemble de cases, recevant chacune jusqu'à 4 urnes funéraires.

Le columbarium installé à Grozon comprend 8 cases, alors que celui de Saint-Barthélemy en comprend 9. Des plaques gravées posées sur la porte des cases porteront les noms, prénoms, date de naissance et de décès du défunt. Ces plaques pourront être personnalisées, comme peuvent l'être les pierres tombales. Le columbarium, comme les pierres tombales, nécessite l'achat d'une concession funéraire. S’adresser à la mairie, car la plupart des concessions sont limitées dans le temps (de 10 à 50 ans en général).

D'où vient d'ailleurs ce vocable de "columbarium"? Nous le devons bien évidemment à l'époque romaine, car les romains procédaient volontiers à l'incinération de leurs défunts; et il est du à la ressemblance entre ces monuments funéraires et les colombiers, où les pigeons étaient abrités dans des cases assez semblables à celles où étaient insérées les urnes. 

Le columbarium du cimetière de Grozon

Le columbarium du cimetière de Saint-Barthélemy